lundi 30 mai 2005

Oil and vinegar

Oil and vinegar est une de mes boutiques préférées de Cologne. Comme son nom l’indique, on y trouve toutes sortes d’huiles, de vinaigres, mais aussi des liqueurs, des épices...
Dans ce magasin, les huiles, vinaigres et autres liquides sont présentés dans de grandes jars en verre. Il suffit de choisir une bouteille parmi un large choix aux tailles et formes variées, et de la faire remplir. Mais avant de choisir une huile d'olive, on peut la goûter en trempant un petit bout de pain dans une des coupelles présentées sur les tables de bistrot au centre du magasin.

Avec Francis, on va souvent dans cette boutique pour trouver des cadeaux. Mes derniers achats : de la liqueur d’orange sanguine, de l’huile parfumée au basilic et du vinaigre balsamique.






Chez Oil and vinegar, on peut aussi acheter des livres de cuisine, de la vaisselle, du miel, des confitures originales, une multitude de sauces toutes prêtes (ça c’est pas trop mon truc, mais il en faut pour tous les goûts).
Au mois d’avril, la boutique organisait un mois australien. Inutile de vous dire que j’y ai fait un saut et que je ne suis pas rentrée les mains vides. J'ai jeté mon dévolu sur une petite bouteille d'huile de noix de macadamia, dont j'avais entendu l'éloge par mes australiens préférés.




Parfaite avec les poissons et les volailles, cette huile très parfumée convient aussi pour l'assaisonnement des salades et les marinades. Moi, je l'adore sur un coeur de salade verte, sans rien d'autre. Un petit délice plein de douceur pour le palais.

mercredi 25 mai 2005

Quand les blogs deviennent une drogue...

Les blogs culinaires sont une vrai mine d’or pour les gourmands en mal d’inspiration. Ne croyez pas que ce soit mon cas aujourd’hui. Simplement, à force de lire tous les jours des recettes appétissantes, il est normal de vouloir goûter, non ?
Tout ça pour dire que je suis devenue une Blog Addict, petit à petit, l’air de rien, en quelques mois. Voilà comment je passe des heures devant mon ordinateur sans voir le temps passer.
Dois-je remercier tous mes camarades qui publient leurs bonnes recettes du moment, photos à l’appui ? ou bien les fuir car ils me prennent tout mon temps (bien malgré eux) ?!

Le matin, mon premier geste (enfin presque) est d’allumer l’ordinateur pour aller voir ce que les autres ont préparé de bon. Alors, je clique, je lis, je reclique, parfois je laisse un commentaire…
Je visite les blogs auxquels je suis habituée, je passe inévitablement chez celles qui m’ont inspiré, je visite parfois des blogs tout neufs ou que je n’ai pas encore pris le temps de lire...
Et tout au long de ce voyage virtuel dans les cuisines de chacun, je note les recettes qui me tentent. J’ai ainsi rassemblé dans un dossier sur mon ordinateur toutes les « recettes d’autres bloggueurs à tester absolument ». Ce dossier enfle de jours en jours et quand j’ai le temps, j’essaie une recette prise au hasard dans ce livre de cuisine géant.
J’ai déjà testé et adopté le cake poires-noisettes de Pascale, les speculoos de Laurent, mais encore le riz sauté de Ségolène, la tarte pomme-pistache de Clotilde, l'eau de fenouil de JP…
Mais dans mon dossier attendent encore sagement les œufs à la neige au Porto d’Elvira, le Ch’ti crumble au Maroilles d’Emmanuèle, la soupe d’asperges au riz et le riz à l’impératrice de Ségolène, les suggestions de Patrick avec des pistaches confites, les courgettes farcies de Perrine … et bien d’autres encore. Et c’est pas fini, si je continue sur cette lancée.
Alors, aujourd’hui, j’ai pris une décision grave : réduire ma fréquence de lecture des blogs culinaires. Je vais essayer de m’y tenir… C’est pas gagné. D’ailleurs juste avant d’écrire ces quelques lignes, je n’ai pu m’empêcher de lire le blog de Véronique, celui de Pascale, et puis j’ai ouvert une casserole chez Nawal…

vendredi 20 mai 2005

Sandwich du jour

On part en week-end !
Cette fois-ci, cap sur le Pas-de-Calais, où on est attendu pour la pendaison de crémaillère d'une jolie maison en briques comme ça se fait dans la région.
Mais avant d'arriver, on a quelques heures de route. Comme on risque d'avoir faim et qu'il n'est pas question de s'arrêter dans un bouiboui enfumé sur l'autoroute, il faut donc préparer des ravitaillements.
Voici donc les sandwichs du jour qui seront dévorés ce soir, sur les sièges de la voiture (lesquels se souviennent encore du muffin au chocolat du dernier long trajet).




Entre les deux belles tranches de pain tartinées d'un savant mélange : de la mozzarella, des tomates confites, quelques câpres et des petits bouquets de basilic en pleine croissance.

jeudi 19 mai 2005

Vite, une idée !

Un de nos amis est de passage en Allemagne et vient dormir chez nous ce soir.
Il nous a prévenu hier, donc il n’arrive pas tout à fait à l’improviste. Mais comme il arrive vers 22h, je m’étais dit qu’il aurait mangé. Mais non, Francis m’a appelée ce soir sur le chemin du retour du travail pour me dire qu’ils arrivaient tous les deux le ventre vide !
19h, ça me laisse une heure pour trouver une idée et aller faire les courses parce que les placards et le frigo sont pas archi pleins. J’ai même plus de pâtes… Et puis je voudrais quand même qu’il se sente bien accueilli chez nous, sinon il risquerait de ne plus revenir.

Hop, hop, hop. Il s’agit de ne pas perdre une minute. Je réfléchis… Le menu de ce soir sera une sorte de chili con carne avec plein de tomates et moins de carne et en dessert des pommes rôties au sirop d’érable.
Pour le simili chili, pas de photo ce soir car j’ai fais un peu au pif et la recette est à retravailler. Par contre pour les pommes…




Pommes rôties au sirop d’érable

Pour 3 personnes
4 belles pommes bien sucrées
une noix de beurre
une bonne rasade de sirop d’érable
5 c. à s. de crème liquide
un peu de cannelle


Epluchez les pommes, coupez les en quartiers, ôtez le cœur et recoupez les quartiers en deux.
Faites-les dorer dans une poêle avec une noix de beurre.
Quand elles commencent à ramollir un peu et à se colorer, ajoutez une grande larme de sirop d’érable (pour remplir le fond de la poêle). Saupoudrez de cannelle.
Laissez mijoter 20-25 minutes à feu doux en retournant souvent les pommes pour qu’elles ne brûlent pas. Si le sirop s’épaissit trop et forme un caramel, ajoutez un peu d’eau.
Disposez les pommes sur les assiettes. Dans la poêle, ajoutez la crème liquide et remettez sur feu doux. Mélangez pour que la crème et le sirop ne forment plus qu’un.
Versez ce coulis sur les pommes et servez aussitôt.

samedi 14 mai 2005

La vie en rose

Il existe des pralines brunes, des pralines belges et des pralines roses.
Les pralines belges sont des chocolats fourrés, mais je vous soupçonne d’en avoir déjà mangé !
Les pralines brunes sont une spécialité de Montargis (Loiret), inventées au XVIIème siècle par le cuisinier du comte du Plessis-Praslin. Elles sont constituées d’une amande enrobée de sucre caramélisé. Les pralines roses sont également constituées d’amande et de sucre, mais le sucre n’est pas caramélisé mais coloré en rose bonbon. Ces dernières étant souvent utilisées dans des recettes lyonnaises, on a tendance à penser qu’elles sont elles-mêmes de Lyon.




Comme vous avez pu le découvrir ici-même, je suis d’origine lyonnaise. Et comme je l’avais promis ici-même il y a quelques semaines, voici une recette de la fameuse tarte aux pralines que l’on peut déguster un peu partout à Lyon. Mais attention, les recettes sont multiples, vous ne mangerez pas deux fois la même tarte aux pralines. Parfois la garniture sera abondante, parfois très fine, parfois la pâte sera brisée, d’autres fois sablée… A vous de voir laquelle vous préférez…
Quoi qu’il en soit, la couleur de cette tarte est toujours très rose, assortie aux couleurs de ce blog.





Tarte aux pralines roses

une pâte brisée (200 g de farine, 100 g de beurre, 1/2 c. à c. de sel, 5 cl d’eau froide)
300 g de pralines roses concassées
300 g de crème fraîche épaisse

Concassez les pralines (comme elles sont très dures, je vous déconseille d’utiliser votre mixer fétiche sous peine d’endommager sérieusement sa lame. Optez plutôt pour un bon marteau.).
Préchauffez le four à 180°C.
Dans une casserole, versez les pralines et la crème.
Faites fondre les pralines dans la crème sur feu doux.
Quand les pralines sont complètement fondues, laisser réduire environ 15 minutes, en remuant de temps en temps.
Pendant ce temps, faites cuire votre pâte à blanc 10 minutes.
Versez le mélange rose sur la pâte.
Enfournez pour 15 minutes.
Laissez refroidir. Placez la tarte au réfrigérateur pour qu’elle prenne en masse, vous pourrez la sortir 30 minutes avant de servir.

vendredi 13 mai 2005

Soupe du jour

A Cologne, le printemps est plutôt frais. C'est une bonne raison pour continuer à manger de bonnes soupes chaudes le soir.
Mais voilà, jusqu'à maintenant quand je décidais de faire une soupe, je prenais des légumes de saison au pif, je fourrais tout ça dans la cocotte, un peu de sel, un peu de poivre, quand la cocotte commençait à siffler, je comptais 10 minutes. Puis j'ouvrais, je mixais et le tour était joué.
Je dois avouer que certains soirs, c'était un peu insipide, voire immangeable. En particulier une soupe dans laquelle j'avais mis un peu trop de chou... j'ai eu bien du mal à terminer mon bol (surtout en pensant que j'allais en manger pendant 3 jours vu la quantité que j'avais préparée) tandis Francis, stoïque, me rassurait : "non, je t'assure, ça va. Elle manque peut-être un peu de sel, mais sinon ça va !". (l'amour rend aveugle, mais je ne savais pas qu'il faisait également perdre le goût... ça m'inquiète).

Un jour, je me suis dit qu'il fallait que j'approfondisse le sujet pour nous éviter d'autres mésaventures de ce genre.
J'ai donc acheté un joli petit livre qui s'intitule "Soupes du jour" écrit par Anne-Catherine Bley, aux éditions Marabout. (je trouve souvent les livres Marabout très intéressants. J'en ai d'ailleurs un qui s'appelle "C'est moi qui l'ai fait !" petit clin d'oeil à Pascale, mais ce livre n'a rien à voir avec la cuisine).
"Soupes du jour" donne une trentaine de recettes de soupes originales, chaudes ou froides, avec de belles photos en prime. Mise à part celle à la Vache-qui-rit, je pense que je les testerai toutes.



Ma soupe du jour s'inspire largement d'une des recettes de mon nouveau livre. Je l'ai un peu modifiée, notamment parce que la recette originale était pour 8 personnes et puis j'ai mis plus de lait de coco et plus d'épices (comment s'appelle ce blog déjà ?!).


Soupe de carottes au lait de coco



Pour 2 gros bols :
500 g de carottes
50 cl d'eau
1 gros oignon
1 c. à c. de coriandre moulue
1 c. à c. de cumin moulu
1 c. à c. de cannelle moulue
20 cl de lait de coco
1 pincée de sel, 1 de poivre


Dans une cocotte, mettez les carottes épluchées, coupées en rondelles, l'eau, le sel et le poivre. Portez à ébullition, puis comptez 30 minutes de cuisson à feu doux.
Pendant ce temps, coupez l'oignon en morceaux et ajoutez le aux carottes au bout de 20 minutes de cuisson.
Retirez la cocotte du feu. Ajoutez les épices et le lait de coco.
Mixez, goûtez, ajustez l'assaisonnement si besoin puis servez.

mardi 10 mai 2005

Confiture de poires aux épices

Il y a plusieurs mois, j’avais acheté du sucre à confiture. Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas. Je pense qu’on peut réussir d’excellentes confitures sans passer par ce genre de subterfuges.
Dernièrement, je suis retombée sur le paquet qui se cachait dans un recoin de ma cuisine miniature, et je me suis dit qu'il fallait que je m'en débarrasse. Quelques jours plus tard, j’ai trouvé de belles poires en faisant les courses et j’ai imaginé toutes les confitures qu’on pourrait faire avec dans ma superbe bassine en cuivre (la même que Véronique) rapportée de mon dernier passage à Lyon. Je me suis décidée pour une confiture épicée, j'avais justement une belle racine de gingembre en stock.




D’après mon paquet de sucre à confiture, il y a des carraghénanes (extraits d’algues) et de la farine de graines de caroube dedans. Ces deux additifs (naturels, cependant) sont utilisés pour favoriser la gélification des confitures. En gros, c’est pour aider les gens pressés à faire des confitures meilleures que celles du commerce en un rien de temps. (Moi, je ne suis pas pressée, sauf quand il s’agit de goûter à ce que j'ai fait).
Toujours d’après mon paquet de sucre, il paraît que ce produit n’altère absolument pas le goût des fruits. OUF ! parce que mes poires étaient tellement bonnes avant cuisson, ce serait dommage d'en modifier le goût.
Ce que j’ai vu après (pas de chance), c’est qu’avec ce sucre, il ne faut pas mettre de jus de citron car il empêche la gélification. Tant pis. De toute façon, j’aime bien la confiture liquide qui coule à travers les trous d’un bon pain de campagne et qui en met plein les doigts !



Confiture de poires aux épices

Pour 4 pots moyens (env. 370 g)
1,5 kg de poires juteuses, celles que vous préférez et selon la saison
700 g de sucre à confiture
200 g de sucre de canne
1 bâton de cannelle
2 clous de girofle
1 c. à c. de noix de muscade râpée
1 c. à c. de cannelle en poudre
l’équivalent d’une petite noix de gingembre frais râpé
le jus d’un citron vert

Mettez les fruits épluchés, coupés en morceaux dans une terrine.
Ajoutez le sucre, les épices, le jus de citron. Mélangez.
Laissez macérer environ 24 heures.
Versez le tout dans votre bassine à confiture (ou à défaut dans une grande cocotte).
Portez à ébullition, puis faites cuire 7 minutes (c’est la durée indiquée sur le paquet de sucre).
Otez le bâton de cannelle et les clous de girofle. Ecumez si nécessaire.
Remplissez les pots (préalablement nettoyés et séchés), fermez-les et retournez-les pour stériliser le bouchon.
Attendez que ça refroidisse un peu et nettoyez la bassine avec une cuillère en bois que vous prendrez le soin de lécher entre chaque raclage du fond. (étape indispensable à la réussite de toute confiture !)

lundi 9 mai 2005

Petit-déjeuner bavarois

Ce week-end, nous étions en Bavière pour rendre visite à des amis. Au programme : visite de Munich sous la pluie et visite de Bamberg sous la pluie aussi. Deux très belles villes que je vous conseille de visiter si vous êtes dans la région. Mais qui dit Bavière dit aussi multitude de châteaux, montagnes, forêts... cette région est une des plus belles d'Allemagne et nous y retournerons.
Evidemment, comme à chaque fois que nous sommes en vadrouille, un de nos centres d'intérêt est la cuisine locale.
Nous sommes donc allés manger un repas typiquement bavarois dans une brasserie de Munich. Vous n'aurez pas de photos parce que j'avais oublié l'appareil, mais pour vous donner une idée des spécialités locales, voici ce que nous avions dans nos assiettes :

Schweinsbraten accompagné de Knödel et de Sauerkraut pour moi (comprenez rôti de porc avec des sortes de quenelles et de la choucroute).
Francis avait un Schweinshaxe avec des Knödel, en d'autres termes un jambonneau avec les fameuses quenelles, et un demi-litre de bière pour faire glisser tout ça (enfin, deux fois un demi-litre).
Mon amie Theresa avait une escalope panée avec des pommes de terre (Schnitzel und Bratkartoffeln).

Ça, c'était au menu de vendredi soir. Mais le lendemain matin, Theresa nous a préparé un petit-déjeuner typiquement bavarois.
On n'avait pas très faim, mais on lui a fait honneur quand même (on n'est pas en Bavière tous les jours...).
Au menu des p'tit-dej' bavarois, il y a généralement des saucisses blanches (Weisswurst, dont la composition est assez incertaine pour nous autres petits français, peut-être que cela vaut mieux !), des bretzels (Brezen en bavarois) et parfois de la bière. Le tout accompagné de moutarde sucrée, surprenant mais très bon. En tout cas, ça tient au corps !
Theresa nous a quand même rassurés en nous disant qu'elle ne mangeait pas ça tous les matins.


mardi 3 mai 2005

Chocolatier Richart

Mardi dernier, j'étais invitée à manger chez des amis nouvellement installés sur Lyon. Ne voulant pas arriver les mains vides, je suis passée chez un chocolatier que j'adore : Richart.
Pour la petite histoire, j'ai mangé mes premiers chocolats Richart pour mes 19 ans, c'était le cadeau d'un ami à une gourmande. J'ai conservé très longtemps la petite notice explicative qui allait avec la boîte et je l'ai lu des dizaines de fois... Ma préférence à l'époque allait au praliné au thym (dans la gamme des Herbacés).

Les chocolats Richart sont très fins, originaux et joliment présentés dans des boîtes tiroirs carrées.
Les gammes sont multiples et je vous invite à les (re)découvrir sur le site de la marque.

Pour mes amis, j'ai pris un petit ballotin aux parfums de fruits pour marquer le début du printemps.
J'ai également acheté 2 petits sachets de mini-chocolats dans l'idée de les partager avec famille ou amis que je croiserais sur mon voyage du retour vers Cologne.





Ceux qui me connaissent savent que la mosaïque fait partie de mes loisirs favoris.
Ceci est ma première oeuvre comestible : damier de chocolat noir au coulis de caramel au beurre salé, pâte d'amandes à la mandarine.


Richart
1, rue du Plat
69 002 Lyon
04 78 37 38 55

et encore :
35, cours Franklin Roosevelt
69006 Lyon
04 78 89 00 21

lundi 2 mai 2005

Bahadourian

Si vous passez par Lyon, une adresse à ne pas manquer : l'épicerie Bahadourian.
M. Bahadourian est venu s'installer à Lyon il y a bien longtemps. Il a ouvert sa première épicerie en 1929 au coeur du 3ème arrondissement, quartier très vivant de la ville. La petite épicerie est vite devenue une entreprise familiale florissante et a multiplié ses adresses.
Il paraîtrait que M. Bahadourian a acheté une à une toutes les caves autour de son épicerie pour pouvoir stocker de plus en plus de marchandises. Aujourd'hui, les appartements avec caves seraient donc très rares dans le coin. Légende ou réalité ??? Quoi qu'il en soit, la place en face de l' épicerie de la rue Villeroy porte aujourd'hui le nom de ce monsieur, c'est dire si c'est une figure lyonnaise.

De passage sur Lyon, je n'ai pu m'empêcher de faire un petit tour chez l'épicier de renom qui fournit certains grands restaurants de la région. Et quand je vais chez Bahadourian, ça donne ça :



un peu de café arabica, des confitures (patate douce, baies rouges, églantine, figue), de la crème d'amandes, de la gelée de thé au jasmin, de la réglisse en poudre, du fénugrec, des épices pour tajine (cucurma, gingembre, coriandre, poivre blanc, cannelle), des nonnettes fourrées à l'orange....


... des aubergines et des feuilles de vigne farcies, des olives noires, des olives au cumin, des briouats à la kefta...


et enfin, un assortiment de gâteaux arméniens, libanais, tunisiens...


Rassurez-vous, ce n'était pas tout pour moi !

Bahadourian (magasin principal)
20, rue Villeroy
69 003 Lyon
04 78 60 32 10

ou encore :
Halle de Lyon
102, cours Lafayette
69 003 Lyon
04 72 84 86 86

et enfin :
5, rue du Mail
69 004 Lyon
04 78 29 97 07

dimanche 1 mai 2005

1er mai

Un brin de muguet non comestible, mais on peut manger le pot !