Non, 1013 g n'est pas le poids - enfin, la masse pour être exacte mais bon, plus personne ne parle de masse et on oublie tous que le poids est en Newton, mais je m'égare.... Donc 1013 g n'est pas le poids du dernier Stollen sorti de mon four, mais hélas c'est le poids du tas de prospectus sorti tout droit de ma boîte aux lettres lors de mon dernier relevé de courrier.
J'étais partie de bonne humeur pour retrouver mes graines de chefs, comme à mon habitude, je jetais un coup d'oeil rapide à la boîte aux lettres en passant. Chic, elle est pleine ! je dois avoir du courrier... On verra ça en rentrant.
De retour, toujours de bonne humeur, j'ouvre la boîte aux lettres et m'empare de la masse de papier qui s'y trouve. Je monte l'escalier, j'ouvre ma porte, je dépose le contenu de ma boîte aux lettres sur la table, j'attrape un verre d'eau, le vide, le remplie, le re-vide (qu'est-ce qu'ils m'ont fait parler aujourd'hui les p'tits !)... Bref, me voilà en train de faire le tri dans tous ces papiers pour arriver au bout de la pile et réaliser que non, je n'ai pas de courrier. Et là, je jette un regard sur cette pile et je la trouve bien épaisse et lourde. Aurais-je oublié de relever le courrier pendant quelques jours ? non pourtant, puisque hier j'avais justement une lettre d'une amie. Conclusion, ce tas de papier représente la ration de prospectus du jour. Et là, je regarde par la fenêtre.... Tous les gens qui habitent autour de moi ont eu la même ration sans doute. Et là, j'ai attrapé ma balance qui n'a pas l'habitude de peser du papier mais qui s'en est bien tiré quand même. Verdict : 1013 g. L'incertitude de la mesure étant de + ou - 1 gramme, j'ai réalisé que j'avais reçu entre 1012 et 1014 g de papiers inutiles dont pas un gramme n'avait retenu mon attention ou n'était susceptible d'attirer celle de qui que ce soit dans mon entourage.
Bilan des courses : 1012 à 1014 g de gâchis et pas de courrier.
Après ça, j'ai eu comme un moment de panique à me demander combien ça pouvait représenter sur la totalité de la résidence, du quartier, de l'arrondissement et ça m'a foutu le cafard.
Du coup, j'ai tout mis dans le sac dédié au recyclage, maigre consolation. Mais à ce moment-là, j'ai entendu une bouteille en verre descendre dans le conduit du vide-ordure et pour le coup, j'étais vraiment plus de bonne humeur.
Et quand je suis de mauvaise humeur, bah, il n'y a que la cuisine pour me calmer.
J'étais partie de bonne humeur pour retrouver mes graines de chefs, comme à mon habitude, je jetais un coup d'oeil rapide à la boîte aux lettres en passant. Chic, elle est pleine ! je dois avoir du courrier... On verra ça en rentrant.
De retour, toujours de bonne humeur, j'ouvre la boîte aux lettres et m'empare de la masse de papier qui s'y trouve. Je monte l'escalier, j'ouvre ma porte, je dépose le contenu de ma boîte aux lettres sur la table, j'attrape un verre d'eau, le vide, le remplie, le re-vide (qu'est-ce qu'ils m'ont fait parler aujourd'hui les p'tits !)... Bref, me voilà en train de faire le tri dans tous ces papiers pour arriver au bout de la pile et réaliser que non, je n'ai pas de courrier. Et là, je jette un regard sur cette pile et je la trouve bien épaisse et lourde. Aurais-je oublié de relever le courrier pendant quelques jours ? non pourtant, puisque hier j'avais justement une lettre d'une amie. Conclusion, ce tas de papier représente la ration de prospectus du jour. Et là, je regarde par la fenêtre.... Tous les gens qui habitent autour de moi ont eu la même ration sans doute. Et là, j'ai attrapé ma balance qui n'a pas l'habitude de peser du papier mais qui s'en est bien tiré quand même. Verdict : 1013 g. L'incertitude de la mesure étant de + ou - 1 gramme, j'ai réalisé que j'avais reçu entre 1012 et 1014 g de papiers inutiles dont pas un gramme n'avait retenu mon attention ou n'était susceptible d'attirer celle de qui que ce soit dans mon entourage.
Bilan des courses : 1012 à 1014 g de gâchis et pas de courrier.
Après ça, j'ai eu comme un moment de panique à me demander combien ça pouvait représenter sur la totalité de la résidence, du quartier, de l'arrondissement et ça m'a foutu le cafard.
Du coup, j'ai tout mis dans le sac dédié au recyclage, maigre consolation. Mais à ce moment-là, j'ai entendu une bouteille en verre descendre dans le conduit du vide-ordure et pour le coup, j'étais vraiment plus de bonne humeur.
Et quand je suis de mauvaise humeur, bah, il n'y a que la cuisine pour me calmer.

Losanges au safran, à la coriandre et aux pignons
Pour environ 30 pièces
160 g de beurre pommade + un peu pour la plaque
140 g de sucre de canne complet
280 g de farine T65
1 pincée de sel
1 oeuf
1 c. à c. rase de poudre à lever
3 c. à s. de pignons de pin
3 c. à c. de coriandre réduite en poudre
20 filaments de safran
Mélangez le beurre et le sucre pour obtenir un mélange crémeux et homogène.
Ajoutez la farine, le sel et la poudre à lever. Incorporez l'oeuf puis les épices et les pignons.
Etalez la pâte entre 2 feuilles de papier cuisson à une épaisseur d'environ 1 cm.
Laissez reposer au frais 20 minutes environ.
Préchauffez le four à 200°C.
Beurrez légèrement la plaque du four.
Découpez des losanges de pâte et déposez-les sur la plaque du four en les espaçant de quelques cm.
Faites cuire 10 minutes, jusqu'à ce que les gâteaux soient bien dorés.
Laissez-les tiédir avant de les décoller de la plaque et de les laisser refroidir sur grille.
Ajoutez la farine, le sel et la poudre à lever. Incorporez l'oeuf puis les épices et les pignons.
Etalez la pâte entre 2 feuilles de papier cuisson à une épaisseur d'environ 1 cm.
Laissez reposer au frais 20 minutes environ.
Préchauffez le four à 200°C.
Beurrez légèrement la plaque du four.
Découpez des losanges de pâte et déposez-les sur la plaque du four en les espaçant de quelques cm.
Faites cuire 10 minutes, jusqu'à ce que les gâteaux soient bien dorés.
Laissez-les tiédir avant de les décoller de la plaque et de les laisser refroidir sur grille.