Des amis amoureux des paysages des Cyclades et qui vous content leur dernier voyage...
D'autres attirés par la gastronomie grecque et qui organisent chez eux des festins thématiques...
Une invitation pas encore honorée à passer des vacances à Antiparos...
Dans un autre registre, la lourde actualité économique de la Grèce...
Ou encore, plus surprenant, ce jeune homme désabusé, qui tenta de me séduire me détournant quelques instants de lectures bien plus passionnantes que lui, qui me raconta sa déception lorsqu'il visitait Athènes l'été dernier... Le pauvre, partir en Grèce en vacances...
Pour rester dans le domaine culinaire qui nous occupe ici, parlons de ce livre de cuisine grecque innocemment laissé là, sur un coin de canapé, histoire qu'on y jette un oeil, ni vu ni connu, en vue du festin grec à venir.
Puis le jour dudit festin, le pain au maïs, les haricots aux tomates, les feuilles de vignes farcies finalement oubliées dans le frigo - on nous a assurés que l'on nous en referait afin que l'on y goûte un jour, mais cela après les prochains festins thaïlandais, portugais, italiens, anglais et allemands... Notre table n'honore pas deux fois d'affilée le même pays, vous comprenez !
Enfin, les baklavas. Ah, les baklavas !
Et dernièrement Rebecca, mon ex-et-regrettée colocataire revenue au bercail l'espace d'un week-end, débarquant avec des plats grecs pour le déjeuner du dimanche... Déjeuner clôturé par ce dessert, dont j'avais découpé la recette dans un magazine il y a bien longtemps. J'y ai apporté quelques modifications notamment pour adapter les proportions à mon moule bien plus grand (les moules dont on s'équipe seraient-ils proportionnels à notre gourmandise ?) et pour parfumer le sirop à la sauce épices et compagnie.
D'autres attirés par la gastronomie grecque et qui organisent chez eux des festins thématiques...
Une invitation pas encore honorée à passer des vacances à Antiparos...
Dans un autre registre, la lourde actualité économique de la Grèce...
Ou encore, plus surprenant, ce jeune homme désabusé, qui tenta de me séduire me détournant quelques instants de lectures bien plus passionnantes que lui, qui me raconta sa déception lorsqu'il visitait Athènes l'été dernier... Le pauvre, partir en Grèce en vacances...
Pour rester dans le domaine culinaire qui nous occupe ici, parlons de ce livre de cuisine grecque innocemment laissé là, sur un coin de canapé, histoire qu'on y jette un oeil, ni vu ni connu, en vue du festin grec à venir.
Puis le jour dudit festin, le pain au maïs, les haricots aux tomates, les feuilles de vignes farcies finalement oubliées dans le frigo - on nous a assurés que l'on nous en referait afin que l'on y goûte un jour, mais cela après les prochains festins thaïlandais, portugais, italiens, anglais et allemands... Notre table n'honore pas deux fois d'affilée le même pays, vous comprenez !
Enfin, les baklavas. Ah, les baklavas !
Et dernièrement Rebecca, mon ex-et-regrettée colocataire revenue au bercail l'espace d'un week-end, débarquant avec des plats grecs pour le déjeuner du dimanche... Déjeuner clôturé par ce dessert, dont j'avais découpé la recette dans un magazine il y a bien longtemps. J'y ai apporté quelques modifications notamment pour adapter les proportions à mon moule bien plus grand (les moules dont on s'équipe seraient-ils proportionnels à notre gourmandise ?) et pour parfumer le sirop à la sauce épices et compagnie.
Gâteau de semoule aux amandes, recette grecque à ce qu'il paraît
Pour un plat de 30 cm x 23 cm
170 g de beurre pommade
130 g de sucre de canne blond
4 oeufs
200 g de farine
200 g de semoule de blé fine
12 g de poudre à lever bio
150 g d'amandes en poudres
quelques amandes mondées
Pour le sirop :
125 g de sucre
150 g d'eau
1 bâton de cannelle
1/2 gousse de vanille
1/2 zeste d'orange non traitée
Préparer le sirop :
Fendre la demie gousse de vanille et en extraire les graines pour les mélanger au sucre. Mettre l'ensemble des ingrédients du sirop dans une casserole. Porter à ébullition, laisser frémir une minute puis laisser infuser hors du feu.
Préchauffer le four à 180°C.
Fouetter le beurre pommade et le sucre.
Incorporer les oeufs un à un.
Ajouter la farine, la semoule, la poudre à lever et les amandes en poudre.
Mélanger jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
Répartir dans le moule préalablement beurré ou garni de papier cuisson.
Lisser la surface à la spatule.
Décorer d'amandes mondées.
Enfourner pour 40 minutes.
Réchauffer le sirop, retirer la gousse de vanille et le bâton de cannelle. Verser sur le gâteau à la sortie du four.
Laisser refroidir avant de couper en morceaux.
Pour un gâteau de semoule d'un autre genre, c'est par là...