... ou comment commencer un séjour à Lyon en beauté.
Arrivée gare de Lyon Part-Dieu, samedi à 20h49, rien dans l'estomac et crevée. Papa et Monique m'attendent en bas du quai. Une petite bise, un grand sourire et puis...
papa : T'as mangé ?
moi : non.
Monique : on pourrait aller aux Halles...
Les Halles ou la Halle de Lyon… (chacun dit comme il veut) rien qu’à écrire ce nom, j’en ai des frissons… Lieu historique, rendez-vous des gourmands, des gastronomes et des curieux.
Ce grand marché couvert à la façade hideuse (qui devrait bientôt être rafraîchie) regorge de trésors qui finiront dans votre assiette… Certains grands restaurateurs de la région viennent s’approvisionner ici.
Pas un instant d'hésitation, nous voilà partis dans la seconde ! Le temps de rejoindre la voiture, de charger mes quelques bagages (heureusement, je voyage léger !), de faire le tour du quartier et de retrouver une place de parking.
Nous y voilà.
Ça a l’air un peu lugubre le soir, on sait pas trop si c'est ouvert ou fermé, mais dès qu’on entre, qu’on passe les premières allées désertes, on est plongé dans une certaine ambiance. Par-là, des éclats de rires, par-ci, des verres qui trinquent… A cette heure-ci, seuls quelques commerces sont encore ouverts, ceux qui font restaurants ou dégustation. Beaucoup sont spécialisés en fruits de mer, mais il y en a certainement pour tous les goûts. On n'a pas pris le temps de regarder toutes les enseignes, ni tous les étalages, guidés par nos estomacs, nous nous sommes arrêtés chez Merle.
Une photo noir et blanc qui orne l’un des murs témoigne de l’ancienneté de cette maison. Ici, c’est ambiance bistrot, pas de chichi, comme à la maison. Les serveurs en tablier bleu marine sont de bon conseil et de bonne humeur.Le choix d'huîtres et autres coquillages est impressionnant.
Arrivée gare de Lyon Part-Dieu, samedi à 20h49, rien dans l'estomac et crevée. Papa et Monique m'attendent en bas du quai. Une petite bise, un grand sourire et puis...
papa : T'as mangé ?
moi : non.
Monique : on pourrait aller aux Halles...
Les Halles ou la Halle de Lyon… (chacun dit comme il veut) rien qu’à écrire ce nom, j’en ai des frissons… Lieu historique, rendez-vous des gourmands, des gastronomes et des curieux.
Ce grand marché couvert à la façade hideuse (qui devrait bientôt être rafraîchie) regorge de trésors qui finiront dans votre assiette… Certains grands restaurateurs de la région viennent s’approvisionner ici.
Pas un instant d'hésitation, nous voilà partis dans la seconde ! Le temps de rejoindre la voiture, de charger mes quelques bagages (heureusement, je voyage léger !), de faire le tour du quartier et de retrouver une place de parking.
Nous y voilà.
Ça a l’air un peu lugubre le soir, on sait pas trop si c'est ouvert ou fermé, mais dès qu’on entre, qu’on passe les premières allées désertes, on est plongé dans une certaine ambiance. Par-là, des éclats de rires, par-ci, des verres qui trinquent… A cette heure-ci, seuls quelques commerces sont encore ouverts, ceux qui font restaurants ou dégustation. Beaucoup sont spécialisés en fruits de mer, mais il y en a certainement pour tous les goûts. On n'a pas pris le temps de regarder toutes les enseignes, ni tous les étalages, guidés par nos estomacs, nous nous sommes arrêtés chez Merle.
Une photo noir et blanc qui orne l’un des murs témoigne de l’ancienneté de cette maison. Ici, c’est ambiance bistrot, pas de chichi, comme à la maison. Les serveurs en tablier bleu marine sont de bon conseil et de bonne humeur.Le choix d'huîtres et autres coquillages est impressionnant.
Voici un compte-rendu en images de notre repas dégustation :
Quelques escargots, avant dégustation…
Quelques coquilles d’escargots après…. Apparemment, ils étaient bons !
(mais moi j’aime pas, j’ai pris des Saint-Jacques)
Pour papa, une douzaine d'huîtres fines de claires de Marennes Oléron, pas trop grasses d'après notre serveur qui paraît vraiment s'y connaître en matière d'huîtres, plus que nous trois réunis !
Ensuite, un demi Saint-Marcelin, crémeux, coulant, comme on les aime… Je le soupçonne de venir tout droit de chez la mère Richard, fromagère célèbre de la Halle dont les Saint-Marcelins sont mondialement connus.
Et pour finir en beauté, un éventail de chocolat, avec 2 cuillères (je vous laisse deviner pour qui est la deuxième cuillère… sachant que ce dessert a été commandé par mon gourmand de père, que Monique avait une cuillère avec son café, et que je ne bois pas de café…)
Et pour finir en beauté, un éventail de chocolat, avec 2 cuillères (je vous laisse deviner pour qui est la deuxième cuillère… sachant que ce dessert a été commandé par mon gourmand de père, que Monique avait une cuillère avec son café, et que je ne bois pas de café…)
Mmmmmm.......
Voilà !
Les Halles de Lyon
102, cours Lafayette
69 003 Lyon
Merle, huîtres et coquillages
Halles de Lyon
04 78 62 30 29
Pour plus d’infos sur les Halles, je vous invite à faire un tour sur ce site.
Mais mes aventures culinaires de ces derniers jours ne s’arrêtent pas là…
Je vous en dirai plus très bientôt !
5 commentaires:
Coucou
J'espère que tu as passé de bonnes vacances.
Je ne connais pas du tout Lyon et j'ai toujours rêvé d'y aller.
Pour moi, Lyon c'est ambiance bistrot, charcuterie et petit coup de rouge.
Maintenant je sais que j'aurai aussi à aller découvrir l'ambiance de ces Halles.
t'es vraiment pas sympa avec les femmes enceintes qui adorent les resto Lyonnais....
Céline
Comme Mijo, je rêve d'aller à Lyon. Mon mari a fait ses études là bas et nous irons cet été (sans doute) retrouver ces anciens copains de l'INSA. Je rêve des célèbres "bouchons"....
Céline, encore un peu de patience, bientôt tu pourras remanger des huîtres et coquillages à volonté !
Véronique, fais-moi signe quand tu iras à Lyon, des fois que j'y sois en même temps que toi. Mijo, tu pourrais venir y faire un petit tour en même temps peut-être....
Bises à toutes.
C'est vrai que les Halles de Lyon, c'est quelquechose. Quand je vais à Lyon, j'aime y faire un tour et y acheter les spécialités: pâté en croûte ,Saint Marcellin de la mère Richard, les éatlages sont remarquablement ahalandés et bougrement appétissants.
Ségolène
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